Julie se prépare à quitter son mari Roger, lorsqu'elle découvre une pile d'enregistrements.
Chaque chanson évoque un souvenir comme celle qui passait dans le magasin de disques lorsqu'ils se sont rencontrés pour la première fois, ou celle de leur premier rendez-vous, de leur mariage....
Une cascade de sentiments et de pensées lui reviennent petit à petit en mémoire... le désespoir d'avoir perdu son seul enfant, et comment Roger et elle se sont perdus dans cette vie.
| 3760054368743 |
| Année | 1941 |
| Origine | Etats-Unis |
| Format | 4/3 |
| Version | Version Originale Sous-Titrée Français |
| Sous-Titre | Version Originale Sous-Titrée Français |
| Genre | Drame/Emotion |
| Durée | 117 Minutes |
| Son | Dolby |
| Réalisation | George STEVENS |
| Casting / Acteurs | Beulah BONDI - Irene DUNN - Cary GRANT |
| Couleur | Non |
| Noir & Blanc | Oui |
| Film Colorisé | Non |
L’histoire commence dans les tranchées de la Première Guerre mondiale.
Un officier anglais, Eric Trent, doit accomplir une mission dont il ne peut espérer s’en sortir vivant.
C’est une vision de Jeanne d’Arc qui lui est apparue lorsqu’il trouva l’épée délabrée dont elle s’était servie.
Dans sa vision, Jeanne d’Arc lui dit d’aller au bout de sa mission pour l’expier du péché qu’il a commis contre elle des siècles auparavant.
L’histoire retourne alors au temps où Jeanne d’Arc mène l’armée française à la victoire et brûle sur le bûcher.
MALOMBRA – Malombra
La jeune marquise Marina di Malombra vit enfermée dans une villa du lac de Côme.
Son oncle, le sévère comte Cesare di Ormengo, l’a recueillie orpheline et sans fortune et a décidé de ne la libérer que le jour de ses noces.
Influencée par la solitude, Marina bascule peu à peu dans la folie lorsqu’elle découvre dans une épinette une mèche de cheveux, un gant, une épingle et une confession manuscrite ayant appartenu à sa grand-tante, la comtesse Cecilia, qui a vécu dans la même chambre et qui y a été séquestrée par un mari jaloux voulant lui faire expier une trahison.
Subdivisé en trois parties et cinquante-quatre scènes, le film illustre – en s’inspirant de diverses sources iconographiques, notamment les gravures de Gustave Doré pour l’édition française de 1861 – les moments les plus suggestifs du poème dantesque.